Coupole fendue, lézardée en écho avec la déchirure du voile du temple au moment de la Crucifixion, offrande du Fils. Véritable espace en promesse, la 
brèche s’ouvre dans une perspective franche, irréversible et lumineuse, manifestation silencieuse mais non sans voix.
Effective, elle crée une rupture.
Performative, elle invite, dans une tension, à un « pas encore » dans un « déjà là » eschatologique.
Cette fracture vient briser une sédimentation rayonnante tombant en droite ligne « sur l’autel » comme une évidence.
Une chute évidente se faisant ouverture au Tout-Autre.
Un appel : « Maranatha », Viens Seigneur Jésus !
Texte de Aude Viot Coster - Auteure

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